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Adèle Aribaud a trente-et-un ans et habite à Paris : son terreau familial l'initie très tôt au monde du marché de l’art, de l'expertise des objets d’art, de la restauration d'oeuvres et de l'enseignement de l'histoire de l'art. Tout naturellement, elle oriente donc ses études vers l’univers de la culture. En cursus de médiation culturelle et communication, elle intègre en stage la Fondation Pilar et Joan Miró à Palma de Majorque, un hôtel des ventes toulousain et participe au projet de revalorisation patrimoniale de l’Ensemble conventuel des Jacobins en 2015.

      Également passionnée de journalisme et d'écriture, elle intègre le service culture du groupe Publicis à Paris puis devient co-responsable des contenus digitaux de l’application mobile des Inrockuptibles pendant un an. Parallèlement et jusqu’en 2021, elle assiste occasionnellement un expert de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés (CNES) dans ses diverses missions concernant les bijoux et objets précieux.

     Passionnée par le patrimoine joaillier et sa valorisation depuis toujours, elle précise ses lectures, visites et recherches : Chroniques Joaillières naît le 1er janvier 2020. La même année, elle se forme à la gemmologie à L’ING de Paris. Depuis deux ans, elle est chargée de recherches au sein de la direction scientifique de l’École des Arts Joailliers Van Cleef & Arpels.

Adèle Aribaud - Paris 

Valorisation de la recherche

et du patrimoine joaillier

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